Je ne connais pas le cri de la faim, au plus profond de la nuit, je n’ai jamais été perdu sans maison, pas comme métaphore, mais aussi réel que le jour, pourtant à travers toi je ressens tout, mon cœur se brise profondément dans la nuit, et Je trouve un espace pour guérir, et peut-être que le fil qui répare ces blessures renvoie à ce qui est en nous tous, une lumière brillante dans l’obscurité, un lien ininterrompu qui peut être nié, mais qui ne cesse jamais d’être.