Je connais non une guerre en pensée, en liberté, garde contre le crain, reve en tout la nuit, avec quelque fois, quelque chose, dans tour le chanson le mond, le mystère dans lumière. Je mort, je mort un peu, mais dans mon esprit, une jardin de l’esprit, dans mon couer la mer, les nuages, en ciel.
Le vent, plus rapide que la lumière, léger comme le jour, invisible comme la nuit, se déplace à travers les arbres, ne laissant qu’un souvenir, d’un cœur tremblant, rempli d’amour.